La présence dans les grandes pyramides de monte charge hydrauliques est la véritable « révélation des pyramides », il est nécessaire d’en apporter les preuves.
A contrario,
les tenants du « consensus » des archéologues que l’on peut résumé ainsi:
- Chambre reliée à un couloir = chambre mortuaire du roi
- Élévation des blocs = rampes.
- Déplacement des blocs = traîneaux glissant sur des pistes lubrifiées
N’ont pu depuis des décennies apporter la moindre preuve matérielle du moindre début de rampe d’élévation visible sur le terrain et encore moins dans les pyramides.
En ce qui concerne les chambres mortuaires ils ont essayé lourdement de contourner la contre preuve, de ces chambres anonymes, vides et nues sans que la moindre trace d’un morceau de mobilier funéraire ou d’une dépouille mortelle, proclamées un peu trop vite chambre du roi.
Certes la tradition funéraire des mastabas de la III et IV dynastie tombeaux des personnalités et des rois antérieurs, était celle de caveaux vides et anonymes contenant seulement le sarcophage anonyme lui aussi, dans le sarcophage le squelette du défunt était souvent présent et autour un embryon de mobilier funéraire y fut trouvé.
Par contre dans ce même mastaba se trouvait aussi une antichambre, ne communicant pas avec le caveau dont l’accès était bloqué, dans laquelle on trouvait les nom et qualités de défunt, souvent de magnifiques gravures parfois peintes et quelques fois la statue de l’occupant du lieu comme ce fut le cas pour Hemiounou l’architecte de la grande pyramide et du vizir AnkHaf demi frère de Chéops.
Peut on imaginer un seul instant qu’un Pharaon qui a mobilisé le meilleur de son royaume pour préserver dans cet immense tombeau sa mémoire et son corps pour l’éternité, n’ait même pas songé à laisser ne serait ce que son nom écrit quelque part dans sa tombe!
S’il n’est fut pas trouvé dans ces chambres c’est qu’il est ailleurs dans la pyramide et que ses chambres avaient eu une autre fonction.
Sarcophage: les « chambres funéraires » des pyramides de Saqqarah, Méidoum, rouge et rhomboïdales ne montrent pas de sarcophage, s’il y en avait eu un anonyme et en pierre sans intérêt pour les pilleurs, il y serait toujours.
La chambre Haute de la pyramide de Chéops dispose d’une parallélépipède creusé que l’on a appelé sarcophage car il en a les dimensions possibles. Cependant une analyse rigoureuse des disposition de cette chambre associée à son antichambre faite par G. Dormion dans son livre « la Chambre de Chéops » montre clairement qu’il s’agit d’une mise en scène.
Bien évidemment, le fils et le petit fils ont copié sur papa dans leurs pyramides Khéphren et Mykérinos.
Donc:
Rampes, pas de traces, chambres + descenderies il n’y a que des contre-preuves et pourtant, bizarrement ils s’est fait un consensus pour promouvoir et défendre ces contre-vérités.
En revanche
Toutes ces contre-preuves autorisent à penser que le roi est toujours présent ailleurs à l’intérieur de sa pyramide.
A contrario, je prétends que ces volumes trouvés dans les 7 grandes pyramides ont contenu de l’EAU qui à l’aide de flotteurs élevait les pierres même les plus lourdes au centre des pyramides.
Qui dit eau plus flotteur dit puits vertical<=> qui dit puits vertical dit eau.
A l’inverse du consensus, pour soutenir mon analyse j’apporte les preuves directes et indirectes qu’il y a des puits dans les pyramides et toutes sont vérifiables:
En ce qui concerne les élévateurs à flotteurs, la pyramide de Saqqarah apporte deux preuves matérielles directes:
La présence sous la base de la pyramide de 11 puits de 33 m de profondeur sous la face Est dont le plan vertical coupe la maçonnerie de la pyramide au deuxième degré, à 20 m de hauteur.
La présence au centre de la pyramide, d’un grand puits vertical de même profondeur qui de plus contient encore le lest qui stabilisait le flotteur, lest que JP.Lauer nous vend comme le caveau du roi.
Fallait-il 4500 ans plus tard qu’il y ait encore de l’eau dans ces puits?

G. Dormion et JY.Verd’hurt ont découvert, cachées par des linteaux formant le toit du corridor horizontal des « chambrettes » à voûtes juste au dessus de mini antichambres rectangulaires dans ce même corridor.
Ceci est la preuve d’une action délibérée de la part des constructeurs de dissimuler deux puits verticaux qui ont été bouchés par une voûte en encorbellement.
Cette découverte de Dormion / Verd’hurt permet de comprendre que chaque fois que l’on découvre une chambre avec voûte en encorbellement dans une pyramide, on est en présence d’un puits ou d’une cage bouché et déguisé en chambre.
La « chambre funéraire » est elle aussi la partie basse d’une cage, son sol n’est pas la roche d’origine c’est le résultat du comblement du puits souterrain débouchant au niveau zéro, sa voûte en encorbellement est le résultat du remplissage de la cage. Elle a été laissée bien en évidence pour simuler une chambre funéraire.
Les archéologues y voient une chambre funéraire précédée de deux antichambres. Mais en se rapprochant de ce que l’on connait de la pyramide de Meidoum, on reconnaît immédiatement le même schéma, seulement ici, au lieu de dissimuler les cages obturées ils les ont laissé bien en évidence comme antichambres avec une magnifique voûte.
Trois puits- cages sont visibles dans cette pyramide.
La chambre basse et la chambre hautes sont le résultat de deux puits bouchés, par des voûtes en encorbellement.
la chambre basse est flanquée au sud par un puits mystérieux dont la partie basse fut trouvée en enlevant un linteau au niveau du sol de la chambre et la partie haute bouchée de la même façon qu’à Meidoum, l’antichambre au nord fait la même largeur que le corridor qui y accède, le corridor est coiffé par des linteaux, « l’antichambre » par une voûte en encorbellement.
Si « l’antichambre avait été fermée au moment de la construction de la pyramide elle aurait été coiffée elle aussi par des linteaux, la présence d’un plafond en voûte est la preuve que ce volume a été fermé plus tard, à un moment où il n’était plus possible de poser des linteaux, c’est donc que cette « antichambre » était un puits dans cette pyramide à un moment donné.
Dans la galerie horizontale qui donne accès à la chambre haute on trouve deux herses coulissantes logées dans de mini chambres de 0.8 m de largeur.
Même disposition que dans « l’antichambre » basse, les plafonds en voûte signalent deux puits bouchés.
Pyramide de Chéops:
il y a une preuve directe et deux preuves indirectes:
Preuve directe, la chambre des herses
est en fait un tronçon du puits du troisième étage celui de la chambre haute, il a été maquillé pour en faire une chambre des herses factice.
Ce volume présente l’intérêt de nous renseigner sur la technologie des puits utilisés dans la grande pyramide.
Niche de la chambre basse:
Derrière la niche de la chambre basse un corridor de 1 m de large et 1.7 m de hauteur qui a été bouché par les constructeurs eux même et partiellement dégagé par on ne sait qui depuis a été décrit en détail par G. Dormion dans son livre « la chambre de Chéops » paru il y a 15 ans.
Ce corridor conçu pour une circulation humaine, circule dans une maçonnerie de 5.5 m de profondeur à l’est de la niche, il fait en son milieu une angle à 90° donnant au nord dans une maçonnerie d’une dimension inconnue le long du mur oriental de la chambre basse.
Depuis cette parution aucune mission archéologique n’a eu la curiosité d’explorer cette maçonnerie.
Sans intérêt pour le « consensus »?
Dans la pyramide toute maçonnerie présente à un niveau quelconque va jusqu’à la base.
Que pouvait donc bien contenir comme volume accessible à 21 m de hauteur cette maçonnerie sinon la cage du monte charge du premier étage et le puits de l’étage de la chambre basse? qui par la suite comme à Meïdoum ont été bouchés.
C’est clair et limpide, les actions constantes et systématiques de la part des constructeurs de dissimuler ces volumes verticaux, témoignent qu’il était important pour eux que ces dispositifs ne soient pas découverts par la suite avec l’exception de la pyramide de Saqqarah pour une autre raison.
Malgré cela, ces puits ont été en partiellement découverts dans 4 des 5 pyramides citées, mais jusqu’alors jamais identifiés comme tels par les archéologues.
Ce sont des archéologues qualifiés professionnels ou amateurs qui les ont découverts, mais ceux-ci prisonniers du consensus sont passé à coté du vrai sens de leurs découvertes.
Rebouchage au centre de la face Est de la pyramide de Chéops:
Enfin ma découverte récente de traces de rebouchage au centre de la face orientale de la pyramide, au niveau du sol, pouvant après analyses complémentaires, apporter la preuve irréfutable de l’existence d’une galerie d’accès (et non d’un conduit d’eau comme les autres « entrées ») qui la véritable entrée de la pyramide pour les pierres et les hommes.

La présence d’un bouchon fait de trois blocs de Granite dans la galerie ascendante prend tout son sens quand il y a de l’eau dans la pyramide.
Il est évident que le dernier bouchon a été fabriqué pour fermer le galerie de façon étanche à l’eau.
Le « consensus » s’interroge encore sur leur fonction.
Faux linteaux de la chambre des herses:

A part la fonction de vanne guillotine à laquelle leur configuration les destine, on ne voit pas ce qu’ils font dans cette pyramide.
En ce même lieu, le fait qu’il existe un passage creusé attribué au sultan Al Ma’mûn, atteste que la précision du lieu de ce percement, ne doit rien à la chance infime de tomber à 1 m près sur 200 m de face au bon endroit en aveugle, mais au fait que le sultan a trouvé un conduit. Ce conduit est une preuve indirecte d’existante d’eau dans la pyramide.
La présence d’un puits vertical dans le « trial passage » modèle réduit de certains couloirs de la pyramide, lequel par la suite a été (mal) rempli de pierres.